Suite à une recherche sur le net de renseignements sur l’acide gras Mead (Mead Acid en anglais), j’ai abouti sur le site de sida.santé, où j’ai pu lire un post très intéressant.
Voici un extrait (légèrement retouché pour la compréhension) :
Mon intention 1ère était de poster sur ce site, mais l’enregistrement de mon inscription a échoué (mystère de l’informatique).« Lorsqu’un organisme est « carencé » en oméga 6 et 3, cet organisme produit lui-même un acide gras polyinsaturé, au départ d’un oméga 9, appelé en anglais « mead acid ». Ce mead acid, du nom de la personne qui la découvert, ou acide eicosatrienoique, constitue une molécule nettement plus stable que l’acide arachidonique, ne s’oxyde pas, et ne produit pas de réponse inflammatoire avec la même amplitude et durable que celle résultant de l’acide arachidonique.
De fil en aiguille, je me suis dis que j’initierais bien une « discussion » ailleurs. Vous comprendrez pourquoi plus tard
Voici tout d’abord un petit article pour donner à réfléchir. Je nuancerais ultérieurement, en vous donnant mon avis …
Les dangers des poly-insaturés (Source: Weston A Price)
De nombreuses désinformations circulent sur les vertus relatives des graisses saturées plutôt que des huiles poly-insaturées. Les gurus diététiques politiquement corrects nous répètent que les huiles poly-insaturées sont bonnes pour notre santé et que les graisses saturées sont les causes de cancers et de maladies cardio-vasculaires. En fait, des changements fondamentaux se sont produits dans l’alimentation occidentale. Au début du siècle dernier, on trouvait surtout des acides gras saturés ou mono-insaturés, provenant principalement du beurre, du lard, du saindoux, de la graisse de rognon de bœuf, de l’huile de noix de coco et de l’huile d’olive. Aujourd’hui, presque toutes les graisses sont poly-insaturées et proviennent de la consommation d’huiles végétales, fabriquées surtout à partir de soya mais aussi de maïs, de carthame et de colza.
Dans l’alimentation moderne, jusqu’à 30% des calories proviennent des huiles poly-insaturées mais la recherche scientifique indique que ce chiffre est trop élevé. Les meilleures évidences indiquent que notre consommation de poly-insaturé ne devrait pas dépasser 4% du total calorifique et approximativement, 1,5% d’omega 3 et 2,5% d’omega 6. On retrouve une présence d’AGE dans ces proportions chez des populations traditionnelles de régions tempérées et tropicales, dont leurs huiles poly-insaturées proviennent des petites quantités trouvées dans les haricots, dans les graines, dans les noix, dans les légumes verts, dans le poisson, dans l’huile d’olive, dans les graisses animales mais dans aucunes huiles végétales commerciales.
Nous avons observé qu’une consommation excessive d’huiles poly-insaturées contribue à un nombre important de maladies, dont le cancer et les maladies cardio-vasculaires : dysfonctionnement du système immunitaire, problèmes au foie, aux organes reproducteurs et aux poumons, problèmes digestifs, diminution des facultés de concentration, problèmes de croissance et gain de poids.
Les graisses poly-insaturées sont responsables de tous ces problèmes de santé car elles deviennent oxydées ou rances sous l’influence de la chaleur, de l’oxygène et de l’humidité, lors de la cuisson ou de la transformation. L’huile rance se caractérise par les radicaux libres, c’est à dire, un atome seul ou en groupe avec un électron impair sur l’orbital. Ces composés sont chimiquement extrêmement réactifs. Ils ont été caractérisé de «maraudeurs» dans le corps car ils attaquent les membranes cellulaires et les globules rouges, abîment les fibres ADN et ainsi provoquant des mutations dans les tissus, les vaisseaux sanguins et la peau. Les radicaux libres abîment la peau et ainsi causent son vieillissement prématuré; les radicaux libres endommagent les tissus et les organes et établissent ainsi un milieu favorable à la formation d’une tumeur. Les dégâts causés par les radicaux libres dans les vaisseaux sanguins vont initier l’accumulation de la plaque. Est-il surprenant que des tests et des études ont continuellement montré une corrélation entre cancers et maladies cardio-vasculaires, et la consommation de poly-insaturés ? De nouvelles évidences ont fait un lien entre une exposition aux radicaux libres et un vieillissement prématuré, les maladies auto-immunes comme l’arthrite, et la maladie de Parkinson, la maladie de Lou Gehrig, la maladie d’Alzheimer, et les cataractes.
Source : Weston A Price « the skinny on fats »
The Dangers of Polyunsaturates
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